Extrait de la vidéo résumée consacrée à Nassim Haramein et à ses recherches fondamentales en physique sur les trous noirs, leurs implications dans la structure géométrique du vide de l'univers. Début de réponse aux questions fondamentales qui se posent sur les véritables origines de l'homme. Retrouvez la vidéo en intégralité sur le site Bouger La Vie.
Nassim Haramein est un chercheur d'origine suisse. Autodidacte, il se pose des questions dans le domaine de la physique depuis son plus jeune âge. Il a quelque chose d'un artiste dans sa manière d'exposer tous ses théorèmes, et cela m'a permis, à moi qui n'y comprenais pas grand-chose aux lois de la physique, de me laisser gagner par certaines idées à caractère scientifique ou métaphysique dont il est le promoteur.
Pour faire connaissance avec Nassim Haramein, rien de tel que la vidéoconférence ci-dessus. C'est un peu long mais ne me paraît pas être une perte de temps.
L'idée maîtresse, celle qui m'a permis de mieux comprendre, avec la raison, les réalités spirituelles qui m'habitent, concerne les trous noirs. Pour Nassim Haramein, le vide qui nous entoure n'est pas vide. A partir d'une loi fondamentale de la physique, selon laquelle on admet que « rien ne se crée, rien ne se perd », il affirme que, si l'univers matériel visible -- entendons, par là, le cosmos, les galaxies, ex-cetera -- est en expansion, il faut admettre que le vide qui entoure la matière soit en contraction. Il faut également considérer le fait que le vide en question oppose une résistance à la matière visible, une force qui maintienne le savant ballet des étoiles en parfait équilibre. Le vide comporte donc une certaine densité tout aussi réelle que celle de la matière qu'elle enveloppe.
Ce ne s'arrête pas là. Selon ce philosophe, la moindre particule de notre univers contiendrait, en elle-même, le tout. Il part, pour le démontrer, des théorèmes mathématiques au sujet du point. La taille du point que nous dessinons sur une feuille de papier est délimitée par l'épaisseur du crayon que nous utilisons. Mais si nous réfléchissons à la taille réelle du point, tel qu'il est décrit en géométrie, on ne peut arriver qu'à cette conclusion : il ne peut être défini par un quelconque système de mesure, car il existera toujours, à l'intérieur du point, un point plus petit que celui dont nous avons tracé le contour. C'est la théorie du trou noir.
Dès lors, comprendre que le moindre point soit, en réalité, un trou noir, et admettre que le vide ne soit pas vide mais plein, cela nous oblige à reconsidérer sérieusement notre grille de lecture de la réalité. L'absolu n'est plus à chercher au-dehors, mais bel et bien au-dedans. Il ne s'agit plus de sortir de la cage, d'aller vers quelque chose qui soit extérieur à soi, mais de rentrer en soi, de creuser au-dedans de soi, de la manière avec laquelle on creuse un puits de plus en plus profond. L'infini se laisse trouver au cœur du cœur, à l'intérieur du centre le plus central de notre être fini.
N'est-ce pas là ce qu'affirment, avec leurs mots, les mystiques qui ont fait « une expérience de Dieu » ? Oui, nous portons tous l'infini au-dedans de nous. A chacun revient le choix entre graviter à la périphérie de son centre ou pénétrer au cœur de son être et faire l'expérience de l'absolu. Car l'absolu est à notre portée.
Pour faire connaissance avec Nassim Haramein, rien de tel que la vidéoconférence ci-dessus. C'est un peu long mais ne me paraît pas être une perte de temps.
L'idée maîtresse, celle qui m'a permis de mieux comprendre, avec la raison, les réalités spirituelles qui m'habitent, concerne les trous noirs. Pour Nassim Haramein, le vide qui nous entoure n'est pas vide. A partir d'une loi fondamentale de la physique, selon laquelle on admet que « rien ne se crée, rien ne se perd », il affirme que, si l'univers matériel visible -- entendons, par là, le cosmos, les galaxies, ex-cetera -- est en expansion, il faut admettre que le vide qui entoure la matière soit en contraction. Il faut également considérer le fait que le vide en question oppose une résistance à la matière visible, une force qui maintienne le savant ballet des étoiles en parfait équilibre. Le vide comporte donc une certaine densité tout aussi réelle que celle de la matière qu'elle enveloppe.
Ce ne s'arrête pas là. Selon ce philosophe, la moindre particule de notre univers contiendrait, en elle-même, le tout. Il part, pour le démontrer, des théorèmes mathématiques au sujet du point. La taille du point que nous dessinons sur une feuille de papier est délimitée par l'épaisseur du crayon que nous utilisons. Mais si nous réfléchissons à la taille réelle du point, tel qu'il est décrit en géométrie, on ne peut arriver qu'à cette conclusion : il ne peut être défini par un quelconque système de mesure, car il existera toujours, à l'intérieur du point, un point plus petit que celui dont nous avons tracé le contour. C'est la théorie du trou noir.
Dès lors, comprendre que le moindre point soit, en réalité, un trou noir, et admettre que le vide ne soit pas vide mais plein, cela nous oblige à reconsidérer sérieusement notre grille de lecture de la réalité. L'absolu n'est plus à chercher au-dehors, mais bel et bien au-dedans. Il ne s'agit plus de sortir de la cage, d'aller vers quelque chose qui soit extérieur à soi, mais de rentrer en soi, de creuser au-dedans de soi, de la manière avec laquelle on creuse un puits de plus en plus profond. L'infini se laisse trouver au cœur du cœur, à l'intérieur du centre le plus central de notre être fini.
N'est-ce pas là ce qu'affirment, avec leurs mots, les mystiques qui ont fait « une expérience de Dieu » ? Oui, nous portons tous l'infini au-dedans de nous. A chacun revient le choix entre graviter à la périphérie de son centre ou pénétrer au cœur de son être et faire l'expérience de l'absolu. Car l'absolu est à notre portée.
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